Connie et Oliver dans la Pléiade
En Connie on aura reconnu Constance, Lady Chatterley, et en Oliver son garde-chasse, Mellors. Publié à compte d’auteur en 1928, circulant sous le manteau (un assez large manteau) jusqu’en 1959, objet d’un procès retentissant en 1960, Lady Chatterley’s Lover fut longtemps synonyme de scandale. Si l’on voulait bien, à la faveur de la nouvelle traduction proposée, le lire pour lui-même, le roman n’y perdrait rien. C’est en octobre que paraîtra le volume de la Pléiade consacré à D. H. Lawrence : Women in Love, Lady Chatterley’s Lover et le recueil de trois novelettes intitulé, selon les éditions, The Captain’s Doll ou The Ladybird ont été retraduits pour l’occasion par Marc Porée et Laurent Bury. Voici, à titre d’échantillon, un extrait du chapitre VI de L’Amant de Lady Chatterley (le premier dialogue entre Constance et Mellors) dans la traduction inédite de Marc Porée.
Jusqu'au 14 septembre 2015, le Centre Pompidou-Metz présente la première grande exposition consacrée à Michel Leiris.
Le Cercle de la Pléiade et le Centre Culturel de Chine à Paris vous invitent le 27 mai 2015, à 19 heures, à la présentation de l'Anthologie de la poésie chinoise, avec Rémi Mathieu, directeur de l'édition.
Les deux volumes de l’édition sont désormais disponibles sous coffret illustré.
Comment se délivrer de l’infamie démocratique d’être trop bien né tout en ne négligeant pas les vertus, les avantages et les privilèges attachés à ce bonheur aristocratique, surtout lorsqu’il est doublé d’une confortable fortune bourgeoise ? C’est la quadrature du cercle que Jean d’Ormesson s’est donné pour tâche de résoudre, en recourant, sur les traces de Chateaubriand, son Mentor, à l’algorithme de la grande célébrité, peut-être même de la
gloire littéraire.