« J’ai fini de chier mes octosyllabiques. Il était temps. Ça fait un petit paquet, que j’ai peur d’aller voir. Plein d’âneries, sûrement. » Voilà, en janvier 1965, ce qu’apprend Michel Butor en ouvrant une lettre de son copain Perros, qu’il a rencontré en 1953 dans le bureau de Paulhan à la NRF.