Après deux ans presque exclusivement consacrés à la critique et à la polémique, Breton envisage en 1927 un livre sur les mystérieuses possibilités que le hasard peut introduire dans la vie quotidienne ; une œuvre qui porterait témoignage de la « clarification » et de « l’affermissement du ton surréaliste ». Nadja paraît en juin 1928 et sera considéré par son auteur comme la clé de voûte de son œuvre.