« Je souhaite, j'appelle, j'implore un Giono déchaîné ! » écrivait Marcel Arland en 1953, se félicitant de la parution, vingt ans auparavant, du Chant du monde, roman mythique à tous les sens du terme : « l'œuvre résiste à l'épreuve ; quelque admiration que l'on puisse avoir pour l'auteur du Hussard, l'auteur du Chant sait encore nous entraîner. »