« Si cette faune vous plaît tellement, vous devriez lire Flannery O’Connor : il y a des évangélistes dans tout ce qu’elle écrit et les portraits qu’elle trace vous enchanterait ». Ainsi, conforté par William Goyen dont il a traduit pour Gallimard La Maison d’haleine et Le Fantôme et la chair, Maurice Edgar Coindreau alerte l’éditeur qui acquiert aussitôt les droits de Wise Blood de Flannery O’Connor, roman publié à New York chez Harcourt, Brace and Company en mai 1952.