Dès ses débuts, Jules Supervielle a voulu intégrer à ses poèmes un « coefficient de prose », le jugeant absolument nécessaire pour rendre ses textes mieux compréhensibles. C’est sans doute à cause de cela qu’en 1922 Montherlant lui conseille d’écrire une espèce de roman, quitte à l’accompagner cette fois d’un irréductible coefficient de poésie.