En 1925, dans son salut à Alfonso Reyes, Valery Larbaud invitait les écrivains mexicains et français à renouer les liens qui avaient jadis uni ponctuellement leurs littératures au temps de Corneille et de Ruiz de Alarcón. Il faut reconnaître qu’il a été entendu, car le Mexique fait aujourd’hui partie de l’imaginaire des lettres françaises et la France reste un horizon de référence pour les auteurs mexicains.