«Ruse de la raison historique, le virus nous aura permis de mettre des mots sur le malaise de notre civilisation. Nous nous interrogions sur la mondialisation, l’environnement ou le populisme. Or nos inquiétudes n’étaient que les symptômes d’un mal plus profond, mais aussi plus simple à soigner : la vitesse. L’accélération perpétuelle, épuisante, destructrice.»
Gaspard Kœnig