« Szilárd Borbély se souvient des terres pauvres de son enfance, dans une langue réaliste, chirurgicale, essentielle. » – Didier Jacob, L'Obs.
« La présence du réel est infinie, sidérante dans ce roman à l'estomac. » – Nathalie Crom, Télérama
« Le poète le plus prometteur et le plus perdu de la poésie hongroise. » – Imre Kertész.